Je vois
La lune ronde
Ouverte sur un monde
Celui de la lumière
Loin de notre atmosphère
Aspirant les spiritueux effluves
De nous, créatures de Vitruve,
Architectes de notre existence,
À l’orée de notre quintessence.
Je bois
L’encens de l’Occident
Les parfums de l’Orient
Je m’inonde de saveurs,
Quelles qu’en soient leurs lueurs,
Espérant entrevoir
Pour notre plus grand espoir
Cette douce ambroisie
Pour le plus beau des récits.
J’ai foi
En la nature humaine,
Une part courageuse, l’autre sereine,
Confiance inébranlable,
Face à ce qui semble inconcevable,
Les mots posés
Sur un destin non biaisé,
Un avenir radieux,
Sur notre belle planète bleue.
Je perçois
La puissance de la jeunesse,
Emprunte de robustesse,
Le moteur de l’amour et de l’amitié,
La passion de l’envie en son entier,
De fous rires en 2020,
Moments d’enfance devenus souvenirs divins,
Sublimés avec l’âge,
La sagesse en héritage.
Je me noie
Dans cette joie de vivre si attendue,
D’un clin d’œil en sourire, liberté en tribut,
J’emploie les verbes les mieux construits,
Auréolés même au milieu de la nuit,
Une nuit brillante,
Telle une étoile filante,
Entourée de la lumière de cette poésie,
Ouvrant nos espoirs vers de somptueuses galaxies.
Phoennyx – Septembre 2020
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