Passé l’heure de l’apéro, je pars.
Je pars en parapente, patrouillant tous les aspects des pays que j’arpente.
Je me place derrière mon piano, pratiquant tous les soirs après 21 heures pétantes,
Les périples empruntés par les compositeurs des partitions déroulées sur mon pupitre, ma ligne de départ.
Top ! Le métronome en guise de chronomètre,
Me reliant à la réalité, resté amarré, ne pas partir comme une comète,
Echappatoire musicale comme une épopée vers une plus mélodieuse symphonie,
Autant de ponts à emprunter par delà monts et marées, vers de vertes prairies.
L’escale de ce soir est passée, les valises sont maintenant posées,
Reprise demain, cap à l’horizon, voyage en terre sauvage, une pleine expédition.
Patientant jusqu’à l’annonce de la prochaine traversée,
L’imagination est pleinement libérée, c’est parti pour de nouvelles missions…
Phoennyx – Avril 2020
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