Petit grain de lumière, face aux ciels immenses,
Bientôt le tonnerre, les volutes à outrance,
Révolution dans les airs, de toute puissance,
Spectacle éphémère, plus magique qu’une danse.
Les pieds à terre, les yeux rivés sur les nuages,
L’imaginaire supplante l’annonce de l’orage.
Les couleurs prolifèrent, s’enrichissent avec l’âge,
S’évaporent dans les airs, quel fugace mirage.
Petit grain de lumière, si modeste et silencieux,
L’arrogance doit se taire, face à ces grands cieux.
Maquillé des éclairs, troublant jeunes et vieux,
Souligné par ces vers, chut ! Ouvrez grand les yeux…
Phoennyx – Septembre 2020
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